Le 29 novembre 2018, le ministère des armées a célébré le 5ème anniversaire du corps des commissaires des armées. Lors de cet évènement, l’ACA a été représenté par son président, le bureau mais également des membres de l’association. Cette rencontre, marquante, a été l’occasion de fédérer les commissaires. Retour (en images) sur une journée réussie…
Jamais les commissaires n’avaient eu l’occasion de se retrouver aussi nombreux à l’Ecole Militaire. 500 commissaires d’ancrage et de parcours différents, soit près de 30 % du corps, étaient présents en ce jour mémorable pour tant de raisons.
En premier lieu, du fait de la qualité des intervenants. Cette journée, ouverte par le commissaire général hors classe Stéphane Piat, a vu se succéder à la tribune, la ministre des armées, le secrétaire général pour l’administration, le major général des armées, la directrice du service de santé des armées, le secrétaire général adjoint à la défense et à la sécurité nationale, le directeur des ressources humaines du ministère et la directrice des affaires juridiques. La présence de ces hautes autorités est le reflet de la place accordée aux commissaires au sein du ministère.
En second lieu, grâce à la passionnante évocation de l’historique du corps des commissaires des armées par le CRC1 Mantin. De l’armée romaine à aujourd’hui, en passant par les commissaires ordinaires des guerres, vous pourrez retrouver cette évocation dans le dernier Soutenir (magazine du SCA accessible gratuitement sur internet sur le site du commissariat des armées). Mais également par la présence de l’école des commissaires des armées (ECA) car les élèves sont la force vive de l’institution et l’avenir de notre corps.
Enfin, par le baptême de la promotion 2018 de l’ECA, « Centenaire de la Victoire », par le chef d’état-major des armées. Un genou à terre, les jeunes officiers ont fait honneur à leur nom de baptême dans la cour de l’Ecole militaire.
Tous ceux qui ont assisté à cette journée sentent encore vibrer en eux une prise de conscience et cette fierté d’être commissaire. Et si ce vent de nouveauté qui a soufflé sur les commissaires rassemblés était tout simplement celui de l’esprit de corps ?



